Chers mutants, en mai faites ce qu’il vous plaît… Mais la liberté c’est aussi le travail ardu de délimiter ce qui est de l’ordre de l’intime et ce qui relève de la sphère publique. Pour que nos moments en communs (je ne parle pas que des transports) ne soient pas des déversoirs de nos intimes qui débordent, je partage quelques réflexions qui me travaillent et me guident en ce moment.
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Les mutants
Chronique N°41, lundi 28 avril 2025
avr. 28, 2025

Mutance
« Mutance »
Le podcast des transitions de vie
Je les appelle les mutants, ces personnes en devenir qui, volontairement ou non, sont lancées sur le chemin d’une transformation existentielle, en mutation.
Les chemins de la transition sont un entre-deux inconfortable où ce que l’on quitte n’est pas très clair et là où on va carrément flou. J’ai imaginé nommer cet état la mutance en clin d’œil aux expressions de mes enfants et j’ai trouvé (merci google) qu’un monsieur nommé René Macaire était l’inventeur de ce concept. Il considérait que dans l’ordre humain, il n’y a pas de transformation durable de la société qui puisse faire l’impasse de la transformation de soi. C’est cette dernière qu’il appelait la mutance, cet art d’harmoniser sa vie intérieure et son insertion sociétale et d’ainsi, en se transformant, transformer le monde. C’est bon, je tiens le nom de mon podcast !
Il est un hommage aux mutants qui avancent, contre vents et marées pour construire pas à pas une vie qui leur ressemble.
Mutance leur est consacrée et explore les ressorts intimes de leur confiance en eux et dans la vie. Sur quoi les mutants s’appuient-ils pour sécuriser leurs pas et surmonter leurs doutes ? Où trouvent-ils le courage d’assumer leurs choix ?
« Mutance »
Le podcast des transitions de vie
Je les appelle les mutants, ces personnes en devenir qui, volontairement ou non, sont lancées sur le chemin d’une transformation existentielle, en mutation.
Les chemins de la transition sont un entre-deux inconfortable où ce que l’on quitte n’est pas très clair et là où on va carrément flou. J’ai imaginé nommer cet état la mutance en clin d’œil aux expressions de mes enfants et j’ai trouvé (merci google) qu’un monsieur nommé René Macaire était l’inventeur de ce concept. Il considérait que dans l’ordre humain, il n’y a pas de transformation durable de la société qui puisse faire l’impasse de la transformation de soi. C’est cette dernière qu’il appelait la mutance, cet art d’harmoniser sa vie intérieure et son insertion sociétale et d’ainsi, en se transformant, transformer le monde. C’est bon, je tiens le nom de mon podcast !
Il est un hommage aux mutants qui avancent, contre vents et marées pour construire pas à pas une vie qui leur ressemble.
Mutance leur est consacrée et explore les ressorts intimes de leur confiance en eux et dans la vie. Sur quoi les mutants s’appuient-ils pour sécuriser leurs pas et surmonter leurs doutes ? Où trouvent-ils le courage d’assumer leurs choix ?
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